L’économie mondiale repose sur LE CAPITALISME MONOPOLITISME DE CONNIVENCE, qui régule, le régime de change flexible aux libres mouvements des capitaux, à la manipulation de taux de changes et l’accumulation des réserves de changes, pour des grandes Banques et des pays riches en défaveur des pays pauvres, dont la monnaie est en ancrage avec le dollar. Le libéralisme économique reste un slogan.
Un État, qui considère, les exportations comme principal moteur du développement économique (RDC), avec les minerais, cela revient à céder la maîtrise de son destin. L’ancrage de la monnaie le franc congolais sur le dollar, la Banque centrale du Congo perd l’autonomie de sa politique monétaire. Plusieurs pays se désolidarisent en réserve de changes en dollar, ( BRICS ), pour éviter les fluctuations ( flottement ) des hausses et baisses ( instabilité ), mais faisant une allocation d’actifs monétaires des plusieurs unités des changes (euros, franc suisse, dollar, yen, yuan…), pour protéger sa politique macro prudentielle.
La dollarisarion à tous les inconvénients d’un ciblage pour une monnaie faible, pour le taux d’un ciblage du taux de change, elle perd l’indépendance monétaire, exposition accrue de l’économie aux chocs qui frappent les pays ancré aux dollars ( RDC ) et impossibilité pour créer, donc la banque centrale d’émettre, créer de la monnaie librement et d’agir en prêteur en dernier ressort.
Le gouvernement congolais fait du capitalisme sans capital en insistant les entreprises à une croissance forcée sans contrepartie d’aide aux développements, mais recours chaque fois pour obtenir les taxes. Suite à l’ancrage avec le dollar, la Banque centrale du Congo, abandonne sa monnaie nationale perd le revenu retiré par l’Etat de l’émission de la monnaie, le seigneuriage et de la double création monétaire endogène des crédits avec le dollar en réserves de changes.
La Banque centrale du Congo pour l’année 2025, doit appliquer l’assouplissement monétaire direct pour soutenir la croissance organique des entreprises en soutenance de la trésorerie, qui ramènerait à une création monétaire en achats des dettes intérieures à un taux minime aux taux du marché de crédits. La morale des chefs d’entreprises en RDC, est 10 %, les carnets des commandes étant vide, pas une bonne politique économique du gouvernement pour relancer les activités et la création d’emploi, mais chaque exercice budgétaire hausse de la pression fiscale et douanière.
Par l’assouplissement monétaire de la BCC, avec des achats des obligations d’Etat et les certificats de dépôts garantis aux entreprises pour la création d’un nouveau marché du crédits, contrairement à celui du Ministère des finances de recourir chaque fois à la monétisation de la dette par l’émission des obligations et bons du trésor. Cette pratique amène l’exclusion des entreprises aux marchés du crédit. Avec l’assouplissement monétaire, la BCC, financerait directement afin de favoriser l’effet multiplicateur est la croissance du PIB, la création d’emploi.
Le maintien de 25 % du taux directeur en 2024, par la Banque centrale du Congo, n’a pas eu des effets sur l’inflation avec les indices (PCE, PME, PMI, JOX ).
Les entreprises peuvent aussi se financer en mode d’une ingénierie financière en MOBILIERISATION financière (transformation d’un actif peu liquide à des titres financiers plus facilement Escomptable pour éviter d’avoir recours aux prêts financiers).
Le multiplicateur monétaire étant inexistant par manque de la base monétaire de la BCC, pour soutenir la masse monétaire de la création monétaire par les banques commerciales, aux entreprises. Une grande partie des crédits à la consommation se font sur le Show down baking, Gwonfonding (marchés parallèles).
La thésaurisation monétaire, hors contrôle du circuit interbancaire n’affecte pas le prix des biens dans l’économie réelle, la vitesse de circulation monétaire ES, étant faible, car une grande partie de la monnaie est stérile commercialement pour créer une forte inflation des biens de consommation, contrairement aux recommandations du comité de la politique monétaire de la Banque centrale. Donc le maintien du taux directeur à 25 % par la Banque centrale du Congo, n’a pas eu d’impact direct sur la politique monétaire ni dans le marché du crédits en franc congolais qui est de moins de 5 %, suite à l’ancrage avec le dollar.
Les mesures monétaires prises par la BCC, courant 2024, sont non conjoncturelle à la politique économique et financière. Durant le T1 et T2, (trimestres), de cette année 2025, une relance en résiliante de l’économie nationale, est une bonne politique Policy-mix doivent être faite avec un nouveau modèle économique des financements par le Trésor et de la Banque centrale du Congo, aux entreprises avec un EFFETS DE LEVIERS AUX INVESTISSEMENTS, pour soutenir les investissements dans les secteurs des SERVICES créateurs d’emplois des masses en RDC, qui reste enfant pauvre aux financements de l’Etat.
Avec une économie congolaise qui se définisse depuis en une croissance en lettre (L), 2023, 2024 et 2025. Les facteurs pour l’augmentation de la croissance macroéconomique du PIB, est la productivité, l’éducation, la formation sur les lieux de travail, qualité de gouvernance, la corruption et l’efficacité de la loi. Trop des taxes secondaires dans un pays entraine plus les magouilles et les tricheries dans la trésorerie de la nation, ce qui amène une grande fraude des taxes négatives dans le pays.
La perturbation de l’économie aux investissements arrive souvent s’il y a l’instabilité politique. L’année 2025 en RDC, risque d’être difficile et timide, pour les vrais investisseurs en raison des divergences entre les politiques congolais suite à la proposition des modification ou changement de la constitution. La soutenabilité reste imprévisible pour la vraie relance économique avec des mesures moins attractives du gouvernement en 2024 et 2025, pour soutenir les ménages à la consommation et l’emploi direct.
L’année 2023, 2024, ont été prospère aux investissements moyen en partie par des projets, 145 territoires, Rocade, Francophonie, contrat chinois, mais ces investissements en grands travaux du gouvernement, n’ont pas créé des emplois stable, ni un ruissèlement financier et monétaire créateur d’emploi stable pour les entreprises Congolaise au niveau national. Les investissements directs profitent plus aux entreprises étrangères pour la plus part des achats des matériaux à l’étranger plus exportations des devises.
L’augmentation du SMIG, par le gouvernement congolais à 14.700 CDF, pour 2025, aurait un impact moins significatif dans la partie macroéconomique de l’économie nationale. Cette majoration n’est pas corrélée à l’inflation de biens, ni à la dépréciation de la monnaie nationale. La hausse du SMIG, ne serait pas suivie dans les secteurs privés qui n’impacterait pas à une forte consommation des ménages pour soutenir l’économie réelle.
Cette augmentation SMIG, risque de perturber les marchés d’emplois, dans les secteurs privés qui est cyclique, par des entreprises et entrepreneurs qui ne peuvent pas embaucher. Avec la hausse du taux de personnes à la recherche d’emploi à plus de 80 % de la population active. Les employeurs seront libres de fixer les salaires comme bon lui semble. La non création d’entreprise, pas des soutiens ni politique d’incitation d’aide au premier embauche, aux patrons d’avoir des jeunes diplômés pour l’emploi, est un handicap majeur pour la majoration de SMIG, en doublant le SMIG, avec des nombreux sans emplois. (pas des contrôles des inspecteurs de travail inexistant).
Les mesures du gouvernement pour stimuler la consommation des ménages durant la période de fin d’année 2024. Baisses des prix des produits alimentaires et carburant. Le système économique centralisé par le gouvernement SUMINUA, est difficile d’apporter la croissance au niveau national. Il faut une diversification avec les secteurs privés pour la relance économique à travers plusieurs provinces du pays. L’orientation de la croissance doit être redéfinie, le rôle de l’Etat en principe par des réformes du secteur public, industriel et bancaire. L’économie centralisée en RDC, à plusieurs limites, surtout dans la plus part des pays en voie de développement. La production des masses des produits exportables à faible valeur ajoutée (AGOA). Il y a plus un énorme gaspillage de capital dans le secteur directement soumis à l’autorité de l’Etat central. (projet 100 jours, Bukanga-lonzo, centre financier de Kinshasa, Arena, 145 territoires….).
Les secteurs privés doivent continuer à apporter les richesses et dynamisme au pays. Ces richesses doivent servir la renaissance du pays et aux intérêts stratégiques définis dans ce but pour la nation entière. La DEMANDE crée L’OFFRE, et non L’OFFRE crée LA DEMANDE, dans l’économie nationale. L’Etat par le Ministère du Portefeuille congolaise, doit mettre en place pour les entreprises publiques, une politique de la gestion de la DESTRUCTION CONSTRUCTIVE, BENCHMARCK, ( OCC, SCPT, SCTP, SNCC, OGEFREM, SONAS, SNCC,….), afin de quitter l’état providence. Avec une bonne politique Macroprudentielle, l’état doit mettre en place un nouveau mode de financement aux entreprises congolaises pour se financer en FACTORING, AFFACTURAGE, comme moyen des financements dans l’économie réelle, assurance-crédit et recouvrement de créance. La croissance interne peut être aussi financée par ces moyens et cela vaut pour des grandes entreprises.
Les mesures prises par le Ministre de l’économie Mukoko Samba, reflète d’une insulte aux congolais. Le Président Tshisekedi se fait trompé avec des mini-mesures sans impact direct à la croissance ni à l’allègement des coûts de biens des consommations. Les prix sont en hausse de 20 % à 25 %, durant la période de la mise en œuvre de la loi, pas des baisses des prix. Malgré les promesses du gouvernement. Toutes ces mesures profitent aux commerçants et importateurs, mais pas aux paniers des ménagères comme promis par le gouvernement.
La baisse du carburant, une mini-mesure qui a plus augmenté les coûts des transports avec des embouteillages dans la province ville de Kinshasa. Pour les transporteurs les manques à gagner suite aux embouteilles sont rapporter aux consommateurs des Motos, Bus, Mini-bus, taxis, à des trajets courts demi-terrain, pour compasser les coûts des embouteillages. Donc toutes ces mini-mesures du Ministère de l’économie Mukoko Samba, sont non productives. Le Ministre de l’économie doit se faire accompagner des vrais experts et non des membres de la famille, ni des partis politiques.
Les anticipations économique et financière pour la croissance du PIB
Réduction des coûts de douane de 15 %, pour toutes les importations ;
Réduction des taxes parallèles au niveau des frontières ;
Stabilisation du franc congolais : toutes les transactions en interne des messageries financières pour les retraits doivent se faire en monnaie locale ;
Prendre des participations à l’étranger aux entreprises porteuses des croissances ;
Allongement d’assiette fiscale, application des taxes sur la fortune immobilière (rente de
jouissance : achats, vente, location), qui doit générer plus de 8 Milliards de dollars par an ;
Taxation des successions immobilière et dons ;
Contrôle et maîtrise de l’inflation immobilière ;
Création d’une banque communale et provinciale de proximité ;
Imposer aux entreprises étrangères aux capitaux entre 500.000.000 Millions de $ à 1.000.000.000
Milliards de $, d’investir en interne de 10 %, de leur bénéfice avant impôts aux entreprises en
RDC, qui ont des projets porteurs de croissance et créateurs d’emploi pour une durée de 15 ans.
suppression ou réduction des taxes des productions sur les entreprises (cimenteries, minoterie,
Sucrerie,…).
Double création monétaire endogène du crédits, en collatéral des réserves de changes, pour une
base monétaire importante, aux financements des projets avant, pendant et après l’exercice
budgétaire, pour le secteur porteurs de croissance et créateurs d’emploi dans le sectaire cyclique (LES SERVICES).
AIME LAMBALA, CEO, EXPERT EN HAUTES FINANCES, MACROÉCONOMISTE, MONÉTARISTE ET MARCHÉS FINANCIERS.